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Après être arrivés en bateau, nous nous sommes mis à la mode turque: les bus et surtout les dolmus (prononcez dolmush). C’est à dire des mini-bus qui assurent les petites liaisons.
Ils partent généralement de la gare routière de chaque ville. Sinon, il y a aura toujours quelqu’un pour vous indiquer où se trouve l’ « ötogar ». En arrivant, leur nombre et les cris des rabatteurs peuvent effrayer mais en fait tout est très bien organisé. Les rabatteurs sont juste là pour donner la destination et le départ imminent des bus. Ils vous indiquent gentiment à quel guichet aller pour réserver votre place.

Niveau prix, pas de différence avec les locaux. C’est donc très bon marché.
Il y a aussi des liaisons avec des vrais bus, pour les grandes distances. Forcément, c’est un peu plus cher mais aussi plus confortable et il peut même y avoir une connexion WiFi.
Pour les très grandes distances, il y aussi la possibilité de prendre l’avion. C’est ce que nous avons fait entre Antalya et Istanbul: 40€ avec Turkish Airlines, 2 jours avant.

Voilà ce qu’on peut vous dire pour vous déplacer en Turquie… en bus avec les locaux, c’est toujours mieux!
Mais c’est long, on a compté, en 10 jours, nous avons passé 23h dans les bus, contre seulement 1h15 en avion.

Turquie

Juillet 2016

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