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De Cali à Popayan, dernières étapes colombiennes

Le 30 octobre 2017

Après avoir passé une bonne partie de la journée dans les bus, nous arrivons en fin d’après-midi à Cali, ce samedi 2 septembre. Nous y retrouvons Andy & Sabrina, les Allemands ainsi que les trois Français. Tous ensemble, nous partons dîner dans un food court et nous rentrons rapidement à l’hôtel où nous attend un cours gratuit de salsa sur la terrasse. Une heure pendant laquelle Matthieu montre tous ses talents de danseurs…
La soirée se poursuit ensuite sur la terrasse et les garçons décident de sortir dans une des boîtes les plus connues de la ville. Pour moi ce sera repos!
 

Les petites infos en +:

Cali, taxi gare routière - centre-ville: 8.000 COP
Free City tour de Cali, départ devant la Cathédrale
Bus Cali - Popayan : 13.000 COP / personne
Taxi Cali, gare routière - aéroport (1h) : 60.000 COP (prix fixe)

Le réveil est difficile pour tout le monde ce dimanche matin. Pour moi, car notre voisin de dortoir a été insupportable toute la nuit et pour les garçons qui ont un peu abusé des nuits de Cali… La journée est donc très calme entre travail sur le site et recherche de Kombi. Elle se termine dans un petit Japonais avec Antoine, Théo & Robin. Andy et Sabrina, eux, sont déjà partis vers l’Equateur.

Lundi 4 septembre, on attaque la semaine par une nouvelle mission Kombi mais aussi billets d’avion. Ca y est, c’est réservé: direction Santiago dimanche après-midi.
En attendant, nous partons pour le Free Tour de Cali cet après-midi. Il part de la cathédrale et permet de faire le tour de tout le centre-ville avec quelques explications, même si franchement, ce n’est pas terrible. Le tour se termine sur la colline San Antonio avec une jolie vue sur la ville et une usine de canne à sucre qui tourne à plein régime au loin.

Le lendemain, la matinée est encore consacrée aux Kombi… il nous tarde d’arriver pour voir ces petites merveilles. A la mi-journée, nous partons sous une chaleur accablante pour une longue balade jusqu’au marché de la ville. Mais l’ambiance est calme aujourd’hui. On nous explique que tout le monde attend le match de l’après-midi entre la Colombie et… le Brésil! C’est pour ça que le plupart des stands sont quasiment vides. Ca tombe bien, on avait prévu de voir le match cet après-midi. On nous conseille d’aller dans le quartier du Stade où les bars diffusent la partie. On se dépêche d’y arriver et juste pour les hymnes, on s’installe sur une terrasse avec des supporters survoltés… inutile de dire qu’ils se calment avec le premier but du Brésil. Mais les Colombiens parviennent à égaliser, c’est la folie dans le ba
Score final 1-1, tout le monde est ravi de la performance, il faut encore attendre le prochain match contre le Pérou (quand on y sera) pour espérer la qualification. De retour dans notre quartier, nous passons notre dernière soirée ici dans le petit food court près de l’hostel.

Dernière séance de travail avant de quitter l’hostel ce mercredi. Et puis, direction la gare routière où on trouve rapidement un bus pour nous conduire vers notre dernière étape ici, en Colombie: Popayan. Nous y arrivons après quasiment 6h de route, et on doit avouer qu’un peu de fraicheur fait le plus grand bien. Une fois installés dans notre hôtel, impossible de trouver une connexion et donc de donner rendez-vous aux trois Français qui sont déjà dans le coin. On arrive quand même à se retrouver sur la place de la ville avant qu’ils ne partent pour un bus de nuit vers le Nord.
 

Vue de Cali

Sur la place, c’est la fête: le pape vient d’arriver à Bogota et tout le monde suit l’événement en direct, c’est comme si rien d’autre ne comptait dans le pays à ce moment.Après avoir assisté à la fête, nous partons à la recherche d’un petit resto dans la ville… et on trouve notre bonheur avec un beau morceau de viande, que ça fait du bien! On n’avait rien mangé depuis le petit déj’, on le mérite.Le lendemain matin, on prend le temps de se réveiller. Et puis, nous partons pour une balade dans la ville: de jolies ruelles, de vieilles universités et la colline de Belen où une petite chapelle est perchée (forcément elle est fermée).
Quand on redescend dans la ville, c’est de nouveau la folie sur la place principale… la messe papale est retransmise en direct, tout le monde est très recueilli, c’est assez magique à voir.

Vendredi, nous profitons encore de la douceur de cette jolie ville avec une longue balade. Et puis, on s’installe au Juan Valdez, le Starbucks colombien, pour profiter du WiFi. Notre appel sur les réseaux sociaux pour trouver une connaissance au Chili fonctionne. Grâce à François (qui se reconnaitra, merci encore!), nous entrons en contact avec Lia qui a sa grand-mère à Santiago… elle nous aidera à obtenir tous les papiers nécessaires pour acheter le véhicule de nos rêves (qu’on n’a pas encore trouvé).
En fin de journée, on grimpe sur le Morro de Tulcan qui domine la ville et nous passons notre dernière soirée colombienne dans un bar très sympa, où tous les étudiants se sont donnés rendez-vous.

Samedi 9 septembre, c’est notre dernier réveil dans la chaude ambiance colombienne. Après un bon petit déjeuner dans la ville, nous partons pour la gare routière où on trouve un bus pour nous ramener à Cali. De retour là-bas, direction l’aéroport. Et là, au moment de s’enregistrer, la blague recommence: obligation de présenter un billet de sortie du Chili. Alors qu’on s’est renseignés, on sait que ce n’est pas obligatoire pour les Français mais ils ne veulent rien entendre. Résultat, on est obligés de prendre un nouveau billet, remboursable une fois encore, mais en attendant c’est un beau trou dans le budget!Après toutes ces émotions, dernière escale à Bogota et direction Santiago où nous attend, on en est sûrs, le Kombi de nos rêves!

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